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604. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135

Ajoutez à ces habiletés merveilleuses, l’harmonie et l’éclat de la parole, la grâce et la force du langage, la véhémence de la passion, l’intérêt de l’action coupée avec art, et cette heureuse façon d’amonceler, sur un point donné, tous les mérites du héros de la comédie ou du drame, à condition que tous ces mérites si divers, se feront sentir, en même temps et tout à la fois . […] Comessantes, disaient les Romains en parlant des héros du premier roman comique. […] En un mot, si vous voulez que votre héros, malgré tout son génie, soit quelque peu supportable, au nom de ce que vous avez de plus cher, au nom de Tartuffe, au nom du Misanthrope, au nom du Festin de Pierre, au nom des vingt-deux ou vingt-trois comédies de Molière, n’en parlez plus !

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