Jacques Richepin ait emprunté la Cavalière à quelque histoire espagnole, imaginaire, peut-être même réelle : Mira de Amescua, l’héroïne de la pièce, est un peu parente de cette Rosaura dont les aventures nous sont contées par Calderon dans la Vie est un songe, et aussi de cette Catalina de Erauso dont, il y a quelques années, M.