Et nous, lorsque nous admirons ces héros et ces héroïnes, la sympathie qui nous émeut ne rend-elle pas, du moins pour un moment, nos âmes semblables aux leurs ? […] Ces deux enfants, l’un de seize ans, l’autre de dix-huit, sont deux héros. […] Ainsi donc, ces héros prodigieux, ces invincibles Espagnols, nous venions de les vaincre ! […] Le poète de Rodrigue, ici, n’était pas plus modeste que son héros. […] Et puis le rôle brillant du héros, ce mélange de générosité et d’ironie, charmait les coeurs.