Il n’en fit point des entités, ni des héros. […] Encore Sébastien devait-il rester un héros même dans le mythe ! […] Lorsque Shakespeare a mis la main sur un héros, dans la légende ou dans l’histoire, il semble que l’histoire ou la légende ne compte plus, que le héros n’a qu’à parler et comme pour la première fois : il le possède. […] Enfin, le héros parle. […] Non seulement le héros parle : il vit.