Le grand art de cette guerre est de ne paraître jamais défendre son terrain, et de ravager seulement celui de son ennemi, de l’accabler gaiement. […] On se serait cru revenu aux beaux jours de la petite guerre d’épigrammes entre Scarron et Gilles Boileau, et c’était le temps d’Austerlitz ! […] [NdA] Il parut, à la fin de 1762 et l’année suivante, une feuille littéraire qui s’annonçait pour vouloir faire concurrence et guerre à Fréron, La Renommée littéraire.