Ils étaient simples, doux, bons et justes, au milieu des enivrements terribles de la guerre. […] Ce Saint François d’Assise de la guerre, qui était de force à marcher, pieds nus, sur des baïonnettes, ne demandait des souliers que pour aller mieux à l’ennemi… Après Brumaire, le grand Connaisseur en mérite et en gloire qui régnait déjà sur la France, voulut en faire un sénateur. […] Et, pourtant, ce n’est pas assez ; j’aurais voulu connaître aussi le grand peuple obscur, oublié, qui a donné sa vie dans ces longues guerres… » Oui !