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631. (1866) Nouveaux lundis. Tome VI « Vaugelas. Discours de M. Maurel, Premier avocat général, à l’audience solennelle de la Cour impériale de Chambéry. (Suite et fin.) »

Dans la seconde partie de son Discours, La Mothe passe à la considération des Périodes pour lesquelles il rend justice à Balzac ; il n’en attaque pourtant pas moins à outrance cette école de la correction qui continue Balzac et qui ne fait guère qu’appliquer ses principes. […] La Mothe-Le-Vayer n’est guère qu’un Montaigne un peu tardif et alourdi ; mais il y a temps pour tout, il y a l’occasion qui ne revient pas ; il y a une heure pour Montaigne, et une heure pour Vaugelas. […] Le mot splendide, je le sais, n’avait guère d’occasions et d’applications autrefois : il en a maintenant de fréquentes.

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