On ne le connut guère que par les outrages immortels de Voltaire, mais la Gloire, qu’il méritait, resta comme prise sous les deux cents volumes qu’il a écrits.
On ne le connut guère que par les outrages immortels de Voltaire, mais la Gloire, qu’il méritait, resta comme prise sous les deux cents volumes qu’il a écrits.