Mais supposons qu’une telle opinion soit erronée, acceptons cette distinction des époques de grandeur et des époques de décadence de l’art. — Eh bien, nous dit-on, elle n’est donc pas immuable, la notion d’art et de beauté, puisqu’elle subit cette variation de progrès et de regrès. […] Il monte, il descend, il remonte : grandeur, décadence et nouvelle grandeur.