C’est dans les derniers mois de son existence que ce stoïcisme pratique se manifesta avec le plus de force et de grandeur. […] Il sentait la nécessité pour tout Français, dans ce naufrage de la grandeur nationale, de travailler au salut de la France. […] Bien qu’elle soit demeurée inachevée, l’œuvre de Taine nous impose par sa grandeur, sa grandeur et son unité. […] Là se trouve sa grandeur et sa faiblesse, le secret de sa puissance et de ses lacunes. […] » Il se laissait même aller en contemplant les grandeurs du passé à de poétiques regrets.