Il y a une sorte de grandeur triste et recueillie répandue dans ce paysage, dans l’éclairage de cette scène, autour de laquelle on sent monter la fraîcheur de l’aube, du lac et les senteurs de la forêt. […] Il est enveloppé d’une grandeur calme et attendrie, et il repousse doucement l’enchanteresse. […] Le public est conquis, fasciné par la grandeur de l’œuvre, par l’interprétation qui a gagné beaucoup encore en sûreté, et, aussi, par ce recueillement que provoque la demi-obscurité de la salle.