Assurément, ce désespoir que le poète éprouve, ce désespoir exprimé dans de superbes vers presque cornéliens de vigueur sévère, a de la grandeur, mais cette grandeur est trop affreuse pour ravir l’âme charmée dans l’admiration et la sympathie.
Assurément, ce désespoir que le poète éprouve, ce désespoir exprimé dans de superbes vers presque cornéliens de vigueur sévère, a de la grandeur, mais cette grandeur est trop affreuse pour ravir l’âme charmée dans l’admiration et la sympathie.