« Vers l’an de grâce 1827, dit Mérimée, j’étais romantique. […] Le dilettantisme, même paré de toutes les grâces du langage, est une posture dont le spectacle, à la longue, pourrait devenir pénible. […] La grâce féminine a inventé pour les commodités du touring un costume d’une sobriété unie et d’une simplicité allègre. […] Je ne veux pas étriquer par de sèches analyses la bonté de Christine, la grâce de Germaine, la charité d’Alice, les douleurs d’Odile. […] Bref, il est bien du pays de cette exquise Césette, qui a la grâce délicate d’une figurine.