Bonnard s’exprime dans la langue la plus pure, la mieux rythmée, la plus harmonieuse, dans une langue toute nourrie de grâce et de beauté grecques. […] Car tu réunis en ta personne l’aspect formidable d’un guerrier tartare à la grâce appesantie d’une femme d’Orient. […] Et il trouvera grâce devant les désabusés, car l’ironie n’en est point absente et il révèle plus de résignation que d’optimisme. […] Ses bons mouvements, étant spontanés, ont chez lui une grâce divine.