Seulement qu’en lisant ces pages, en entendant ces paroles qui brusquent parfois le papier, on n’oublie pas d’y mettre l’animation de la gloire, le sourire brillant de l’esprit et la grâce irrésistible de la jeunesse. […] Si l’on veut de la sûreté, il ne faut point faire de grâce quand on tue les Français ; on y va trop doucement. […] Je suis bien aise que l’empereur lui ait fait grâce ; c’est un brave homme, sachant bien son métier, un peu froid, comme le général Victor.