En donnant à tous la liberté de la presse, le gouvernement s’arrangera pour perdre le seul organe considérable qu’il ait et où il réunit sous le drapeau des noms honorables et des plumes estimées. […] On va faire plaisir à …, à M. …-…, et à M. de …-…, et à quelques autres subalternes qui y trouveront leur compte : je serais étonné que le gouvernement n’y perdit pas… Pour moi je sais bien une chose : c’est que mieux au fait que la plupart, de ces questions de presse et de Moniteur dès l’origine, personne n’a jamais daigné me demander un avis que j’eusse donné en homme honnête et de bon sens. […] Il me serait fort pénible de manquer en quoi que ce soit à ce que je sens devoir au gouvernement de l’Empereur.