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246. (1861) Cours familier de littérature. XII « LXXIIe entretien. Critique de l’Histoire des Girondins (3e partie) » pp. 369-430

Il veut un trône pour appuyer la démocratie, il veut la liberté dans les chambres, et la volonté de la nation, une et irrésistible, dans le gouvernement. […] Ce n’était pas sa faute, sans doute, mais ce fut son malheur ; sa tête charmante mais sans expérience n’avait rien du génie viril de gouvernement que demandait une telle époque. […] C’est le gouvernement de la prudence, parce que c’est celui de la plus grande responsabilité. […] C’est le plus parfait des gouvernements pour cette fonction. […] La volonté publique devient le gouvernement.

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