Mais, avant de le suivre à la cour de François Ier , ce prince que la triple passion de la guerre, des arts et de l’amour égalait à Henri IV, à Louis XIV et aux Valois, racontons par sa bouche une anecdote qui semble donner la clef de quelques-uns de ses goûts secrets, très communs en ce temps-là dans cette corruption de la Grèce et de l’Italie. […] Bandinello jugeait mal du goût public par tout ce qu’on avait dit de son Hercule.