, fut tout à la fois homme et femme, non pas seulement dans ses jeux, mais dans ses goûts et ses facultés. […] Le chroniqueur de journal qu’il ne cesse d’être pendant tout le cours de son récit a le ton propret de son métier, quand il n’en a pas les vulgarités déclamatoires et prudhommiques ; car il a souvent des phrases dans ce goût charmant : « Le prince Charles ne tarda pas à s’abandonner à de folles amours et à délaisser la femme qu’il avait épousée pour concentrer en elle toutes ses affections et en faire la souche honorable de sa postérité. » Il est impossible, comme vous voyez, d’être plus distingué.