À la fin du tome II, le Dauphiné est traité par l’auteur avec une complaisance particulière : Beyle n’est pas ingrat pour sa belle province ; il en rappelle toutes les gloires, surtout l’illustre Lesdiguières, le représentant et le type du caractère dauphinois, brave, fin, et « jamais dupe ». […] C’est une idée heureuse que celle de ce jeune Fabrice, enthousiaste de la gloire, qui, à la nouvelle du débarquement de Napoléon en 1815, se sauve de chez son père avec l’agrément de sa mère et de sa tante pour aller combattre en France sons les aigles reparues. […] Et moi je n’ajouterai qu’un mot qui est celui du poète de La Métromanie : Ce mélange de gloire et de gain m’importune !