Il aime la gloire, qui oserait le blâmer ? […] La beauté de sa femme est une gloire, un triomphe de tous les instants. […] Pouvait-il se promettre la gloire de Raphaël, de Mozart ou de Dante ? […] Hugo a connu la gloire de trop bonne heure. […] Hugo, c’est-à-dire n’élargissent pas d’une ligne la gloire qui lui appartient.