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603. (1854) Nouveaux portraits littéraires. Tome I pp. 1-402

Il aime la gloire, qui oserait le blâmer ? […] La beauté de sa femme est une gloire, un triomphe de tous les instants. […] Pouvait-il se promettre la gloire de Raphaël, de Mozart ou de Dante ? […] Hugo a connu la gloire de trop bonne heure. […] Hugo, c’est-à-dire n’élargissent pas d’une ligne la gloire qui lui appartient.

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