La gloire, cependant, ne lui était pas indifférente. […] Sa célébrité visait à la gloire. […] Le 31 août 1867, le poète des Fleurs du Mal expira et son œuvre entra avec lui dans la clarté définitive de la gloire. […] Du reste, on peut se demander jusqu’à quel point Saint-Simon eût été flatté du genre de gloire qui lui est échu. […] D’ailleurs, la lumière de la vraie gloire ne rend-elle pas éternel ce qu’elle a touché de son rayon ?