Mais la Gloire a marqué de son pouce lumineux le nom d’André Chénier, et on ne touche pas à ce qu’a fait la Gloire ! […] C’est un DE de trop… De même, dans l’édition de ses œuvres poétiques, il y a trop de de aussi, c’est-à-dire trop de petits détails inutiles pour la Gloire, — pour la Gloire, qui n’agit pas comme l’avide peseur d’or fin qui en pèse jusqu’à la poussière. La gloire vraie y va de plus pleine main. […] ce n’est pas moi qui voudrais diminuer la gloire d’André Chénier. […] C’est le caractère grec de la poésie d’André Chénier qui a fait tout de suite sa gloire.