Voilà la vraie réponse à ces gens d’esprit raffinés qui ont voulu voir dans l’affection de Mme de Sévigné pour sa fille une affectation et une contenance. […] Parlant d’un voyage qu’elle faisait en 1672, et où elle regrettait la compagnie de son aimable cousin de Coulanges : « Pour avoir de la joie, écrivait-elle, il faut être avec des gens réjouis. […] Dans cette erreur, beaucoup de gens prirent le soin de me le dire.