Les deux partis qui ont divisé le parlement ne luttaient point comme les plébéiens et les patriciens, avec toutes les passions de l’homme ; c’était presque toujours quelques rivalités individuelles, contenues par l’ambition même, qui les excitaient ; c’étaient des débats dans lesquels l’opposition voulant donner au roi un ministre de son parti, gardait toujours, dans sa résistance même, les égards nécessaires pour arriver à ce but.