Excité par les victorieux débuts de Sophocle, le vieil athlète ramassa son génie dans une dernière lutte, il le raidit et l’assouplit à la fois. […] Avant leur noble transformation, opérée par le génie clément de la race, quelques dieux venus de l’Asie avaient rapporté dans l’Hellade l’appétit des vieilles idoles carnivores. […] D’autres, plus nombreux, soutinrent que la désobéissance, en pareil cas, était un devoir. — « Un sacrifice si barbare, disaient-ils, ne pouvait être agréable à aucun des dieux ; car ce ne sont point des Typhons ni des Géants qui gouvernent le monde, mais des Génies bienfaisants.