Le discours sur les dissensions d’Athènes et de Rome 5, où Swift défendait sous les noms de Miltiades, d’Aristide, de Thémistocle, de Phocion, les illustres accusés, et instruisait le Parlement, par l’exemple des républiques antiques, du péril que fait courir aux États la rupture de l’équilibre entre les pouvoirs publics et l’aveugle acharnement des factions, s’accordait avec le sentiment général aussi bien qu’avec les intérêts du parti Whig. […] On sent combien des ministres, si peu maîtres de la reine sur les questions générales, étaient impuissants sur les questions de personnes.