Sur le pont, pensif et taciturne, se promène un paysan aux mains blanches qu’on appelle général. […] Un seul passager ne doit pas mourir, car sa vie est nécessaire à la cause : c’est le paysan aux mains blanches, le général. […] Une fois en pleine mer, le matelot annonce au général qu’il va le tuer ; ce matelot est le frère du canonnier fusillé. […] Je n’ai pu indiquer que les lignes générales. […] Ce n’est pas précisément de la peur, mais une sorte d’inquiétude générale.