Elle mourut, tandis que lui, terrassé par le mal, avait à peine conscience du malheur qui le frappait. […] On était frappé de la puissance et de la largeur de son front ; ses yeux pétillaient de vie et d’esprit et avaient pourtant une douceur caressante. […] Ce qui frappait avant tout chez lui ; c’était sa modestie. […] Le coup qui abattit la France le frappa lui aussi. […] Il vivait de sa vie dans le passé, et il est mort des coups qui l’ont frappée.