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813. (1891) La bataille littéraire. Quatrième série (1887-1888) pp. 1-398

Je ne parle que des véritables critiques, que je voudrais tous parfaits, sincères, qui ne passent par leur temps à se servir, en musique par exemple, de Wagner pour frapper sur Berlioz et de Berlioz pour frapper sur Wagner, les exécrant peut-être tous les deux, et qui n’oublient pas que, maîtres tout-puissants, ils ont, de par la presse, le droit de la parole et de l’accusation contre des gens qui n’ont pour la plupart du temps le droit ni les moyens de la défense. […] Je le vis sourire de mépris, et alors, de toute ma force, je le frappai avec le couteau dans la direction du cœur. […] On lui donna un fusil ; les boutons de sa veste, un à un, sa giberne lui furent arrachés ; d’un geste dur, on lui ôta son fusil, après l’avoir fait basculer ; — puis on l’en frappa aux reins, brusquement. […] Il adore, il méprise, il hait tour à tour, il va jusqu’à frapper, ivre de colère, d’outrages, celle qui a pris sur lui ce terrible empire. […] Elle frappera le prince Polkine, l’auteur de ses maux, dans toutes ses affections.

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