Nous apprenons que ce Morin fut jadis un ivrogne fieffé ; qu’un soir, dans un accès de colère rouge, il a frappé Jeanne de deux coups de couteau, puis s’est enfui. […] S’il en est ainsi, c’est moi qui le frapperai. » Mais, restée seule, des doutes lui reviennent. […] Cela est comparable à un éclair intérieur qui nous frappe et nous éblouit. » Quelques éclairs de cette sorte ont jailli pour nous de la tragédie de M. […] Il lui commande de frapper la reine. […] Car elle sait bien que, lorsqu’il l’aura reconnue, il ne pourra pas la frapper ; elle en est sûre.