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739. (1912) Chateaubriand pp. 1-344

Il possédait un fusil de chasse dont la détente était usée : « Je chargeai ce fusil…, je l’armai, j’introduisis le bout du canon dans ma bouche, je frappai la crosse contre terre, je réitérai plusieurs fois ; le coup ne partit pas, l’apparition d’un garde suspendit ma résolution. » Peut-être bien qu’il n’avait pas frappé la crosse très fort… Puis il raconte cela vingt-cinq ans après. […] Il n’y a pas de quoi « se frapper » ; il s’agit seulement d’en tirer des leçons s’il est possible. […] Un grand malheur m’a frappé dans ma première jeunesse : ce malheur m’a fait tel que vous m’avez vu. […] Ces deux voix sorties du tombeau, cette mort qui servait d’interprète à la mort m’ont frappé. […] « J’étais dans la galerie lorsque Napoléon entra : il me frappa agréablement.

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