Il s’agit d’un immense poème composé, il y a plus de huit cents ans, par un grand poète, l’Homère de son pays, et dont le nom frappe sans doute ici bien des lecteurs pour la première fois. […] Cette démarche que projette Iredji, il l’exécute ; il va trouver ses frères avec un esprit de paix, et au moment où l’un d’eux, dans un accès de fureur brutale, le frappe et s’apprête à le tuer, il lui dit : N’as-tu aucune crainte de Dieu, aucune pitié de ton père ?