Guizot et par les catholiques les plus clairvoyants, cette réconciliation a-t-elle fait un pas depuis le jour où l’abbé de Lamennais eut cette grande pensée qui pouvait sauver l’Église, et où il fut frappé d’une aussi rude déception ? […] Guizot, on est frappé d’une lacune étrange. […] On serait plutôt frappé, en lisant son livre, du caractère rationaliste de sa philosophie chrétienne.