Cet homme le frappa. […] Avant d’avoir des amis, les objets de la nature matérielle frappèrent mon attention et émurent mon cœur. […] Des festons de vignes, étincelantes comme de l’acier bruni, ou rouges comme l’airain frappé du soleil, suspendaient leurs guirlandes aux grands arbres de la rive. […] Je frappai doucement du plat de la main le dos de mon chien, et j’armai mon fusil. […] Le canon de mon fusil était disposé à frapper de mort celui qui s’approcherait de moi ; mon chien regardait alternativement son maître et ses agresseurs.