Mais c’est justement ce parti pris qui me frappe et me donne à réfléchir. […] Un spectacle de la nature les a frappés : brume d’automne, giboulée de printemps, aurore, crépuscule. […] Elles peuvent frapper directement son imagination sans passer par son entendement. […] L’artiste ne peut nous faire tous vibrer de la même manière ; mais il frappe en nous les mêmes cordes. […] On ne peut s’empêcher d’être frappé de ce qu’il y a de tourmenté, de fébrile dans ces efforts d’innovation.