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359. (1901) L’imagination de l’artiste pp. 1-286

Mais c’est justement ce parti pris qui me frappe et me donne à réfléchir. […] Un spectacle de la nature les a frappés : brume d’automne, giboulée de printemps, aurore, crépuscule. […] Elles peuvent frapper directement son imagination sans passer par son entendement. […] L’artiste ne peut nous faire tous vibrer de la même manière ; mais il frappe en nous les mêmes cordes. […] On ne peut s’empêcher d’être frappé de ce qu’il y a de tourmenté, de fébrile dans ces efforts d’innovation.

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