Elles étaient précédées d’une histoire de M. le Comte de Falloux, de l’Académie française, qui nous y apprenait ce que c’était que Mme Swetchine, dont le nom, avant sa mort, avait parfois frappé le public français, écrit souvent dans des livres où c’était un honneur pour un nom de briller, en passant sous le rayon d’une bienveillante épithète.