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909. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 23, que la voïe de discussion n’est pas aussi bonne pour connoître le mérite des poëmes et des tableaux, que celle du sentiment » pp. 341-353

Charles II roi d’Angleterre disoit que de tous les françois qu’il avoit connus, Monsieur De Gourville étoit celui qui avoit le plus grand sens. […] L’évaluation géometrique du mérite de l’Arioste faite aujourd’hui pour un françois, seroit-elle bonne par rapport aux italiens du seiziéme siecle. Le rang où un dissertateur françois placeroit aujourd’hui l’Arioste en vertu d’une analyse géometrique de son poëme, seroit-il reconnu pour être le rang dû à Messer Ludovico  ?

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