Deux opinions se sont produites lorsqu’on imprima pour la première fois les sermons de Bossuet en 1772 : j’ai déjà indiqué celle de l’abbé Maury, qui plaçait ces sermons au-dessus de tout ce que la chaire française avait offert en ce genre ; l’autre opinion, qui était celle de La Harpe, et que j’ai vue partagée depuis encore par de bons esprits, était moins enthousiaste et se montrait plus sensible aux inégalités et aux désaccords de ton.