Des vers latins, des discours latins, des énigmes rimées, une traduction en vers français des Églogues de Virgile faite à vingt et un ans, je franchis d’un pas tout ce premier bagage, sur lequel le biographe, comme de juste, s’appesantit. […] « On a prétendu, dit Craufurd dans ses Essais sur la Littérature française, que la duchesse de Chaulnes (depuis Mme de Giac) avait fourni plusieurs traits à Gresset ; et cela est vraisemblable : il ne connaissait pas beaucoup le monde alors, et la conversation de Mme de Chaulnes était semée de traits du genre de ceux qui ont fait le succès du Méchant. » 35. […] Galiani y fait une espèce de gazette de théâtre, à l’occasion des représentations qu’une troupe de comédiens français donnait à Naples : « Dix-septième représentation : le Méchant, pièce qu’on n’entendit point du tout, parce qu’elle n’est que parlée.