peut-être ces jeunes gens ne parlent-ils pas un français absolument pur. […] Il ne nous a pas semblé qu’il eût le sentiment du péril que courent l’esprit français et la langue française. […] Il n’y a plus là aucune manifestation de l’esprit français. […] oui, j’ai constaté autour de moi que l’esprit français et la langue française étaient menacés. […] Alors on saurait mieux le français, pouvant lui accorder plus de temps.