Tout à l’heure, elle n’est qu’une bretonne qui jette son patois de Bretonne à travers notre littérature française. […] Rousseau et Bernardin de Saint-Pierre, et les Récits de la Luçotte, qui exprime, elle, des sentiments vrais comme le sang des veines et l’eau des sources, dans un patois d’une couleur ravissante, plein de fautes de grammaire française, mais exquis !