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524. (1857) Cours familier de littérature. III « XVIe entretien. Boileau » pp. 241-326

Ce poète, sans blesser personne, gourmande les cupides bassesses de ces foules du lendemain qui se précipitent sur tout ce qui tombe, et flétrit les faciles victoires de ces fanfarons d’après coup qui outragent tout ce qui est désarmé. […] » Et ailleurs encore : « Une si petite terre nourrissait autrefois le père et toute la foule domestique de son domaine, au milieu de laquelle une épouse enceinte, assise sur le seuil, et quatre enfants, l’un fils de l’esclave, les trois autres du maître. […] Il cite à Molière, pour exemple de ces contradictions de la rime et du sens, une foule de circonstances où, cherchant à trouver le nom d’un homme de génie, la rime lui présente au bout du vers le nom d’un plat ou ridicule écrivain. […] — Mais j’ai des biens en foule et je puis m’en passer !

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