Il faut placer au premier rang ces dévotions populaires qui consistent en de certaines croyances et de certains rites pratiqués par la foule, sans être ni avoués, ni absolument proscrits par l’Église. […] Trouvait-on chez les anciens rien de plus admirable qu’une foule de pratiques usitées jadis dans notre religion ? […] Il s’agit seulement de savoir si leur but est moral, si elles tendent mieux que les lois elles-mêmes à conduire la foule à la vertu.