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11. (1856) Cours familier de littérature. II « Xe entretien » pp. 217-327

La vie est une foule, on la traverse en courant ; mais on y connaît seulement ceux que le mouvement de cette foule a jetés près de vous et qui bordent votre sentier. […] C’était la gloire, l’esprit, le génie, l’éloquence en foule. […] J’ai vécu pour la foule, et je veux dormir seul. […] Il n’y a pas beaucoup de têtes plus au-dessus de la foule et de la banalité dans un siècle. […] Cette foule avait en général l’œil doux, la figure souffrante, le visage pâle, les lèvres tremblantes d’émotion.

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