Dans une lettre écrite quinze jours après, et où l’on voit que, loin de grossir d’abord ses avantages, il inclinait plutôt à les présenter dans des termes très simplifiés, il ajoute ces mots riants : « En un mot, la Fortune m’est revenue ; mais envoyez-moi les meilleurs ciseaux que vous pourrez trouver, pour que je lui coupe les ailes. » Il dit encore au prince Henri qu’il espère maintenant par son exemple « l’enrôler dans la bande des généraux audacieux et entreprenants ». […] Toutes mes peines dans cette campagne, et la fortune qui m’a secondé, tout est perdu par Frédéric.