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310. (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Rulhière. » pp. 567-586

Sa fortune reçut un violent échec après la chute du ministère Choiseul, et sous le ministère d’Aiguillon. […] Dans une autre lettre, écrite au moment où Bernardin partait pour l’île de France, Rulhière, pour lui relever le courage, lui dit : Si vous ne faites pas, mon cher ami, la fortune que j’attends de vos talents et de votre âme, au moins ferez-vous un bon Journal (un journal de voyage), et c’est quelque chose. […] Sa fortune, un moment détruite sous le ministère d’Aiguillon, s’était réparée depuis avec toutes sortes d’avantages par la protection de M. de Breteuil.

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