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244. (1782) Essai sur les règnes de Claude et de Néron et sur la vie et les écrits de Sénèque pour servir d’introduction à la lecture de ce philosophe (1778-1782) « Essai, sur les règnes, de Claude et de Néron. Livre premier. » pp. 15-203

Trop d’ardeur à recueillir la fortune de son fils Lucain, après sa mort, souleva contre lui Fabius Romanus, intime ami du poëte. […] La protection de Claude lui devient inutile ;’ elle est exilée et dépouillée d’une immense fortune. […] , cap. xxxii)  ; et la vie des personnes n’est plus en sûreté, et il n’y a plus de fortune qu’on ne puisse envahir. […] J’ai toujours laissé entre eux et moi un grand intervalle : aussi la fortune me les a ravis, sans me les arracher. On n’est accablé de la mauvaise fortune que quand on a été dupé par la bonne. » Consolation à Helvia, chap. v.

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