La Révolution avait emporté le clergé avec sa fortune, son influence et ses privilèges ; elle l’avait emporté avec la noblesse, les parlements et le trône lui-même. […] « Le général Bonaparte, dit ici son historien trop complaisant à la fortune, souhaitait le suprême pouvoir, c’était naturel et excusable. […] Thiers, intitulé Camp de Boulogne, une des scènes dignes de celles où le fils de Philippe ralliait ses auxiliaires et endormait ses ennemis au moment où il était campé sur la Propontide, avant de passer, avec toute sa fortune et toute son espérance, en Asie. […] Que d’entreprises gigantesques auxquelles succomberait peut-être la fortune de la France ! […] “Monsieur le Président, avait répondu Moreau, ne mettez pas en balance mes services et ma fortune : il n’y a pas de comparaison possible entre de telles choses.