Sa femme n’est que la servante de sa fortune, servante sans gages ; car elle n’a jamais eu cent francs à elle, la pauvre madame Durieu. […] Supposons, d’ailleurs, un instant, la vérité de cette thèse ; alors ce n’est plus une Bourse qu’il faut ériger à la Fortune, c’est un temple. […] Il ne demande qu’à faire la fortune de ceux qui l’entourent, l’aimable banquier. […] Il veut se marier, et que son mariage lui fasse pardonner sa rapide fortune. […] » Et il rappelle comme quoi, depuis trois actes, il se fait humble, gracieux, modeste, offrant à tous ces gens-là de faire leur fortune, et ne recevant, en récompense, que des mépris et des rebuffades.